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Qui que vous soyez, vous pouvez guérir

Qui que nous soyons, et quelle que soit notre histoire, nos blessures, nos pertes, notre solitude parfois… il existe un chemin de consolation possible.
Un chemin de guérison émotionnelle.

La psychologue Jeanne Siaud-Facchin définit la guérison émotionnelle comme « la guérison qui console et libère les forces de vie, et permet la vie en grand. »
Et aujourd’hui, j’ai envie de vous parler de cette porte discrète mais puissante : la consolation.

La consolation : une clé pour la guérison émotionnelle

Le besoin d’être consolé·e

Est-ce que cela vous parle, ce besoin d’être consolé·e ?
Est-ce que ce serait, pour vous, un aveu de vulnérabilité ?

Si oui… tant mieux. Parce que la vulnérabilité, ce n’est pas de la faiblesse. C’est une porte.
La porte de ce qui a besoin d’être pris au sérieux. Le besoin d’être apaisé, d’être reconnu dans sa douleur.

Avant de choisir sa vie, il faut soigner ses blessures

Avant de vraiment choisir votre vie, peut-être avez-vous eu besoin – ou avez encore besoin – qu’on prenne soin de vos blessures.
Les anciennes. Celles d’hier. Et celles d’aujourd’hui.

Parce que toutes les souffrances ont besoin d’être :

  • entendues,
  • consolées,
  • respectées.

Guérir, ce n’est pas oublier : c’est accueillir (ou accepter)

Douleur ou souffrance : est-ce la même chose ?

Douleur et souffrance sont liées… mais ce n’est pas toujours la même chose.

Et si c’était justement en étant consolé·e qu’on pouvait transformer la souffrance en élan ?
Comment ce serait, pour vous, de choisir votre vie à partir d’un lieu plus doux, plus clair, plus libre ?

La consolation ne répare pas : elle accompagne

Une présence plutôt qu’une solution

Et vous, que faites-vous quand vous êtes triste ? Vraiment triste ?
D’une tristesse qui enserre, qui dévitalise et qui vous isole…

Certain·es se coupent du monde. D’autres serrent les dents et s’endurcissent. Beaucoup se distraient…

Mais ce que nous aurions tant besoin de recevoir, à ce moment-là, c’est une consolation vraie.
Pas un conseil. Pas un « allez, ça va aller ».
Une présence.

Quelqu’un qui ne cherche pas à réparer. Qui ne minimise pas. Qui ne fuit pas.
Quelqu’un qui reconnaît la peine. Qui la laisse exister, sans pansement trop rapide.

La consolation, c’est ce qui vient adoucir la part blessée sans chercher à la gommer.

Vous pouvez recevoir, même maintenant

Ce que vous n’avez pas reçu peut encore être accueilli

Si vous n’avez jamais été consolé·e comme vous en aviez besoin, sachez ceci :
Ce n’est pas trop tard.

Ce que vous n’avez pas reçu autrefois, vous pouvez commencer à l’accueillir aujourd’hui.
Dans un cadre thérapeutique, il existe un espace pour cela : un cadre sécure, une présence bienveillante, une écoute engagée.

Un endroit où il est enfin possible de dire :

« Oui, j’ai mal. Et c’est comme ça pour l’instant. »
Et de ne pas être seul·e avec ça.

Découvrez comment la consolation, loin d’être un luxe, devient une ressource puissante dans un processus thérapeutique.

Le lien entre émotions, stress et vitalité

Le besoin d’ouvrir corps et cœur

La guérison émotionnelle nous rapproche de notre globalité et de notre élan vital.
Elle diminue l’oppression du stress. Elle permet de relâcher, d’ouvrir le corps et le cœur.

Ressentez-vous ce besoin de souffler ?
De respirer ?
De laisser vos tensions se dissoudre dans le courant de la vie ?

Toutes nos émotions demandent à être entendues

Tout est émotion dans notre vie.
Chaque pensée, chaque événement, chaque relation s’inscrit dans le corps émotionnel.

Mais :

  • Combien de nos émotions sont refoulées ?
  • Combien sont ignorées ?
  • Combien sont accueillies dans le silence, sans présence ?

Et comment restaurer un dialogue apaisé avec elles ?
C’est possible.
Avec une attention fine, une pratique régulière, et parfois… de l’aide.

Et vous, que faites-vous quand ça tangue à l’intérieur ?

Quand vous traversez une période confuse, agitée, intérieurement instable… que faites-vous ?
Avez-vous un espace ? Un soutien ? Un rituel ? Un accompagnement ?

Ce que je vous propose : une présence thérapeutique

Je suis Philippe Ferrand, thérapeute psycho-corporel.
Facilitateur de clarté et de vitalité.

J’accompagne mes clientes et clients sur trois chemins de guérison intérieure :

Sur ces chemins, la consolation est une étape essentielle.
Elle permet de se reconnecter à soi, retrouver sa dignité émotionnelle, accueillir ses fragilités avec force et douceur.

En conclusion : Vous méritez de vous vouloir du bien

La consolation n’est pas un luxe.
C’est une nécessité vitale.

Et vous ? Qui vous console ?
Et si vous décidiez aujourd’hui de vous offrir cette présence que vous avez tant cherchée ?

Vous méritez de vous vouloir du bien.

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